De Lilian Bathelot, Charlotte Bousquet, Martial
Caroff et Béatrice Egémar
Caroff et Béatrice Egémar
Recueil de nouvelles, jeunesse, à partir de 12 ans
215 pages, 14 €
Gulf Stream Éditeur/collection : courants
noirs, 22 août 2013
noirs, 22 août 2013
Lieu clos, territoire aux mille
secrets, monde étrange et mystérieux… De tout temps l’école a abrité en ses
murs histoires, légendes et mythes, rumeurs et rituels autour du savoir et de
la culture, et accompagné la transmission de ceux-ci de règles intangibles et
de règlements insidieux. Car l’école s’est donné une mission :
l’élévation. Celle des esprits, celle des corps, celle des âmes bien sûr. Dans
cet univers normatif, l’élève ou l’étudiant, s’il accepte les règles et consent
à suivre l’enseignement qui lui est dispensé, recherche malgré tout la brèche
dans le mur, la faille dans le système, l’espace de liberté où il pourra
respirer. Si la mort est rarement au rendez-vous dans les institutions
éducatives, elle représente somme toute le prix à payer pour cette liberté aux
yeux d’un écrivain de littérature noire. C’est dans cette brèche qu’il va
s’engouffrer pour imaginer les pires aventures, traquer les turpitudes cachées.
secrets, monde étrange et mystérieux… De tout temps l’école a abrité en ses
murs histoires, légendes et mythes, rumeurs et rituels autour du savoir et de
la culture, et accompagné la transmission de ceux-ci de règles intangibles et
de règlements insidieux. Car l’école s’est donné une mission :
l’élévation. Celle des esprits, celle des corps, celle des âmes bien sûr. Dans
cet univers normatif, l’élève ou l’étudiant, s’il accepte les règles et consent
à suivre l’enseignement qui lui est dispensé, recherche malgré tout la brèche
dans le mur, la faille dans le système, l’espace de liberté où il pourra
respirer. Si la mort est rarement au rendez-vous dans les institutions
éducatives, elle représente somme toute le prix à payer pour cette liberté aux
yeux d’un écrivain de littérature noire. C’est dans cette brèche qu’il va
s’engouffrer pour imaginer les pires aventures, traquer les turpitudes cachées.
Je ne suis pas férue des recueils de nouvelles, les courts récits
m’empêchant, la plupart du temps à m’attacher à l’intrigue ou aux
personnages ; or, ici avec « L’école de la mort » j’ai vraiment
passé un très agréable moment de lectures. J’ai pu découvrir la plume de 3
auteurs que je ne connaissais que de noms, redécouvrir la plume de Charlotte
Bousquet (j’ai lu sa saga « La peau des rêves »).
m’empêchant, la plupart du temps à m’attacher à l’intrigue ou aux
personnages ; or, ici avec « L’école de la mort » j’ai vraiment
passé un très agréable moment de lectures. J’ai pu découvrir la plume de 3
auteurs que je ne connaissais que de noms, redécouvrir la plume de Charlotte
Bousquet (j’ai lu sa saga « La peau des rêves »).
8 nouvelles pour 4 auteurs, 8 récits se passant chacun à une époque
différente et ayant comme point commun un crime commis dans un établissement
scolaire, un lieu d’apprentissage ou ce qui y ressemblait dans les temps
anciens.
différente et ayant comme point commun un crime commis dans un établissement
scolaire, un lieu d’apprentissage ou ce qui y ressemblait dans les temps
anciens.
J’ai vraiment apprécié chacune des nouvelles, j’ai été un peu frustrée
pour 2 d’entre elles, car j’en aurais voulu plus.
pour 2 d’entre elles, car j’en aurais voulu plus.
C’est un exercice de haute
voltige de réussir à plonger le lecteur en quelques lignes dans un lieu, une
ambiance, une intrigue ; de pouvoir en quelques mots décrire l’époque, les
Us et coutumes du moment, pari relevé pour les 4 auteurs !
voltige de réussir à plonger le lecteur en quelques lignes dans un lieu, une
ambiance, une intrigue ; de pouvoir en quelques mots décrire l’époque, les
Us et coutumes du moment, pari relevé pour les 4 auteurs !
Nous commençons le voyage par « Les demoiselles de Saint-Cyr, sages
comme des anges » de Béatrice Egémar.
comme des anges » de Béatrice Egémar.
Nous sommes au XVIIe siècle, Madame de Maintenon, épouse [secrète] de
Louis XIV, fonde la Maison royale de Saint-Louis, un pensionnat qui
accueille des jeunes filles afin de leur donner une éducation. Elle est en
plein désarroi et se confie à celle qui la seconde, Madame de Loubert. Si la
première est désemparée à cause d’une banalité, l’autre est inquiète et n’ose
se confier pour des faits beaucoup plus graves.
Louis XIV, fonde la Maison royale de Saint-Louis, un pensionnat qui
accueille des jeunes filles afin de leur donner une éducation. Elle est en
plein désarroi et se confie à celle qui la seconde, Madame de Loubert. Si la
première est désemparée à cause d’une banalité, l’autre est inquiète et n’ose
se confier pour des faits beaucoup plus graves.
On peut dire que cette nouvelle laisse présager le meilleur pour la
suite, une écriture claire, concise, un climat sombre et en même temps on ne
peut s’empêcher de sourire à certains moments.
suite, une écriture claire, concise, un climat sombre et en même temps on ne
peut s’empêcher de sourire à certains moments.
Avec réalisme et humour,
l’auteure retranscrit à merveille l’ambiance qui régnait à l’époque du roi
Soleil.
l’auteure retranscrit à merveille l’ambiance qui régnait à l’époque du roi
Soleil.
Pour la seconde nouvelle, on fait un bond dans le passé, il y a
450 000 ans avec « Le maître des pierres » de Martial Caroff.
C’est sans doute la nouvelle qui m’a le moins plu, mais pas à cause de l’intrigue
ni de l’écriture, très agréable, de l’auteur, mais à cause de l’époque, il m’a
été difficile de m’attacher aux personnages, sans doute car ils ne parlent pas,
ils s’expriment, mais il n’y a pas de dialogue, n’oublions pas que c’est normal
à ces temps éloignés et que nous avons affaire aux Homo Heidelbergensis,
descendants directs de l’homme de Neandertal (à la fin de la nouvelle, il y a
une, courte, mais suffisante, explication sur cette tribu et la période, un
passage très intéressant, merci à l’auteur).
450 000 ans avec « Le maître des pierres » de Martial Caroff.
C’est sans doute la nouvelle qui m’a le moins plu, mais pas à cause de l’intrigue
ni de l’écriture, très agréable, de l’auteur, mais à cause de l’époque, il m’a
été difficile de m’attacher aux personnages, sans doute car ils ne parlent pas,
ils s’expriment, mais il n’y a pas de dialogue, n’oublions pas que c’est normal
à ces temps éloignés et que nous avons affaire aux Homo Heidelbergensis,
descendants directs de l’homme de Neandertal (à la fin de la nouvelle, il y a
une, courte, mais suffisante, explication sur cette tribu et la période, un
passage très intéressant, merci à l’auteur).
L’histoire est celle de Reh et du Maître des pierres. Il est question
ici de la transmission du savoir, un meurtre aura lieu, mais ça, je vous le
laisse découvrir.
ici de la transmission du savoir, un meurtre aura lieu, mais ça, je vous le
laisse découvrir.
Comme pour le récit précédent, nous lisons une nouvelle, mais
nous apprenons aussi les coutumes de l’époque, même si je n’ai pas été
embarquée par l’histoire j’ai aimé découvrir ces hommes, leurs croyances, leur
mode de vie, c’est vraiment intéressant, qu’on se passionne ou non pour la
préhistoire.
nous apprenons aussi les coutumes de l’époque, même si je n’ai pas été
embarquée par l’histoire j’ai aimé découvrir ces hommes, leurs croyances, leur
mode de vie, c’est vraiment intéressant, qu’on se passionne ou non pour la
préhistoire.
La 3e nouvelle est signée Charlotte Bousquet, « Les fantômes de
Saint-James », mon coup de cœur du recueil (franchement si l’auteure se
décidait à écrire un roman autour de cette nouvelle je m’empresserais de la
lire), l’auteure nous narre ce qui était infligé aux Indiens au début du XXe siècle,
dans le Dakota. (Mais pas uniquement, l’auteure laisse une note pour expliquer
que ces traitements ont débuté fin du XIXe jusqu’à 1970 !)
Saint-James », mon coup de cœur du recueil (franchement si l’auteure se
décidait à écrire un roman autour de cette nouvelle je m’empresserais de la
lire), l’auteure nous narre ce qui était infligé aux Indiens au début du XXe siècle,
dans le Dakota. (Mais pas uniquement, l’auteure laisse une note pour expliquer
que ces traitements ont débuté fin du XIXe jusqu’à 1970 !)
Nous sommes à la mission Saint-James en 1928, Sœur Charity dirige avec
d’autres religieuses cet établissement, leur but, « tuer » tout ce
qui est indien dans ces jeunes filles indiennes qui leurs sont confiées, tout
ce qui fait ce qu’elles sont leur est enlevé, que ce soit leurs longs cheveux
noirs ou leurs religions, il règne un climat de violence extrême, on voit comment,
des personnes peuvent s’imaginer des choses complètements invraisemblables, des
croyances complètements stupides et oublier que c’est un être humain qui se
tient devant eux. J’ai été horrifiée de lire ce passage de l’Histoire que je ne
connaissais pas, Charlotte Bousquet m’a embarqué directement dans son récit,
dès les premières lignes j’ai été happée, une nouvelle assez dure vu ce qui est
infligé aux pensionnaires, néanmoins vraiment intéressante, la fin me titille,
un personnage fait son apparition et j’espère le retrouver un jour, en 2 pages
cet homme m’a fortement intriguée et pour moi la fin laisse présager une suite… (ou alors c’est tellement j’ai envie d’en savoir plus sur cet homme ^^)
d’autres religieuses cet établissement, leur but, « tuer » tout ce
qui est indien dans ces jeunes filles indiennes qui leurs sont confiées, tout
ce qui fait ce qu’elles sont leur est enlevé, que ce soit leurs longs cheveux
noirs ou leurs religions, il règne un climat de violence extrême, on voit comment,
des personnes peuvent s’imaginer des choses complètements invraisemblables, des
croyances complètements stupides et oublier que c’est un être humain qui se
tient devant eux. J’ai été horrifiée de lire ce passage de l’Histoire que je ne
connaissais pas, Charlotte Bousquet m’a embarqué directement dans son récit,
dès les premières lignes j’ai été happée, une nouvelle assez dure vu ce qui est
infligé aux pensionnaires, néanmoins vraiment intéressante, la fin me titille,
un personnage fait son apparition et j’espère le retrouver un jour, en 2 pages
cet homme m’a fortement intriguée et pour moi la fin laisse présager une suite… (ou alors c’est tellement j’ai envie d’en savoir plus sur cet homme ^^)
Le 4e récit c’est Lilian Bathelot qui nous emmène à Stalingrad au milieu
de la Seconde Guerre mondiale, en 1943. Nous suivons Roza Svetlana, tireur
d’élire, avec ses camarades elle doit s’entraîner avant de pouvoir rejoindre le
front, seuls les 2 meilleurs participeront à une « compétition
finale », épreuve que Roza veut gagner à tout prix.
de la Seconde Guerre mondiale, en 1943. Nous suivons Roza Svetlana, tireur
d’élire, avec ses camarades elle doit s’entraîner avant de pouvoir rejoindre le
front, seuls les 2 meilleurs participeront à une « compétition
finale », épreuve que Roza veut gagner à tout prix.
Des personnages au caractère fort, un corps d’armée qu’on ne rencontre
pas souvent dans les romans, une écriture agréable, cette nouvelle ne fait pas
partie de mes préférées, j’ai aimé suivre Roza, mais je trouve que pour ce
récit on devinait un peu trop vite le dénouement de l’intrigue.
pas souvent dans les romans, une écriture agréable, cette nouvelle ne fait pas
partie de mes préférées, j’ai aimé suivre Roza, mais je trouve que pour ce
récit on devinait un peu trop vite le dénouement de l’intrigue.
Ensuite, nous retrouvons à nouveau Charlotte Bousquet dans une nouvelle
totalement différente de la première, changement d’époque, nous sommes au XVIIe
siècle, d’intrigue, ici il s’agit d’un amour dévastateur.
« Obsession » met en scène Marianne, une femme éperdument amoureuse
du maître d’armes de son frère Léandre.
totalement différente de la première, changement d’époque, nous sommes au XVIIe
siècle, d’intrigue, ici il s’agit d’un amour dévastateur.
« Obsession » met en scène Marianne, une femme éperdument amoureuse
du maître d’armes de son frère Léandre.
J’ai apprécié tout autant cette nouvelle que l’autre récit de la même
auteure, en 25 pages elle nous fait ressentir les émotions de ses personnages,
surtout du principal, on bascule avec dans la folie, la fin est tragique. Une
nouvelle qui m’a captivée et émue.
auteure, en 25 pages elle nous fait ressentir les émotions de ses personnages,
surtout du principal, on bascule avec dans la folie, la fin est tragique. Une
nouvelle qui m’a captivée et émue.
L’auteure a surtout dépeint un des
protagonistes pour nous montrer ce que peut provoquer une obsession comme son
titre l’indique, on entraperçoit peu les autres intervenants, mais ça ne m’a
pas gêné, car mon attention était braquée sur les sentiments du personnage
principal. Je suis sous le charme de la plume de Charlotte Bousquet !
protagonistes pour nous montrer ce que peut provoquer une obsession comme son
titre l’indique, on entraperçoit peu les autres intervenants, mais ça ne m’a
pas gêné, car mon attention était braquée sur les sentiments du personnage
principal. Je suis sous le charme de la plume de Charlotte Bousquet !
Dans « Tatoo cœur » de Lilian Bathelot nous sommes il y a
4700 ans dans un petit village près de Montpellier. Nous suivons Doodo, une
toute jeune fille (mais déjà considérée comme femme à cette ère) désemparée par
la disparition de son père, elle est certaine qu’il lui est arrivé quelque chose
même si la rumeur circule qu’il s’est enfui. Refusant d’écouter les autres
habitants, elle mène sa propre enquête avec l’aide d’un apprenti de passage,
Lillo.
4700 ans dans un petit village près de Montpellier. Nous suivons Doodo, une
toute jeune fille (mais déjà considérée comme femme à cette ère) désemparée par
la disparition de son père, elle est certaine qu’il lui est arrivé quelque chose
même si la rumeur circule qu’il s’est enfui. Refusant d’écouter les autres
habitants, elle mène sa propre enquête avec l’aide d’un apprenti de passage,
Lillo.
Même si comme pour les autres nouvelles il est question de mort, le lien
qui unit les 2 adolescents m’a particulièrement touchée, la fin est très belle.
Comme pour « Les fantômes de Saint-James » de Charlotte Bousquet,
« Tatoo cœur » me laisse un goût de trop peu, j’aurais vraiment aimé
en savoir davantage sur l’avenir de Lilo et tatoo.
qui unit les 2 adolescents m’a particulièrement touchée, la fin est très belle.
Comme pour « Les fantômes de Saint-James » de Charlotte Bousquet,
« Tatoo cœur » me laisse un goût de trop peu, j’aurais vraiment aimé
en savoir davantage sur l’avenir de Lilo et tatoo.
Cette nouvelle, je pense
vous l’avez compris, est une de mes préférées.
vous l’avez compris, est une de mes préférées.
Seconde nouvelle de Béatrice Egémar avec « Meurtre à la maison de
vie » nous sommes cette fois en Égypte, sous le règne du dernier pharaon
du Nouvel Empire, Ramsès III.
vie » nous sommes cette fois en Égypte, sous le règne du dernier pharaon
du Nouvel Empire, Ramsès III.
Nous suivons Pépi, à l’école des scribes. Leur professeur Pashed est
retrouvé mort. Une enquête est menée pour trouver le coupable.
retrouvé mort. Une enquête est menée pour trouver le coupable.
J’ai trouvé
cette nouvelle originale, une enquête policière du temps de l’Égypte antique,
j’ai apprécié de lire autre chose qu’un récit sur une divinité égyptienne, même
si j’adore l’Égypte, j’ai lu, ici, quelque chose de différent, une intrigue
plaisante même si son développement est court (mais encore une fois, je ne peux
reprocher cela à l’auteure puisqu’il s’agit d’une nouvelle), Béatrice Egémar nous
emmène sur différentes pistes, nous suivons les jeunes scribes durant leur
laborieux apprentissage, ce sont eux qui sont les principaux protagonistes. Une
nouvelle qui m’a une fois encore convaincue !
cette nouvelle originale, une enquête policière du temps de l’Égypte antique,
j’ai apprécié de lire autre chose qu’un récit sur une divinité égyptienne, même
si j’adore l’Égypte, j’ai lu, ici, quelque chose de différent, une intrigue
plaisante même si son développement est court (mais encore une fois, je ne peux
reprocher cela à l’auteure puisqu’il s’agit d’une nouvelle), Béatrice Egémar nous
emmène sur différentes pistes, nous suivons les jeunes scribes durant leur
laborieux apprentissage, ce sont eux qui sont les principaux protagonistes. Une
nouvelle qui m’a une fois encore convaincue !
Enfin, le recueil se termine par « Agora Game » de Martial
Caroff, nous changeons de pays, destination Athènes, en 413 av. J.-C.. Place à
la philosophie et à la rhétorique, 2 disciplines courantes à l’époque. Nous
suivons Socrate et Antisthène, un être froid, cynique, il aime particulièrement
un de ses élèves, Khrémès. Antisthène va se confier à son ancien maître,
Socrate, il n’a peut-être réussi à instaurer la bonne discipline dans son
école.
Caroff, nous changeons de pays, destination Athènes, en 413 av. J.-C.. Place à
la philosophie et à la rhétorique, 2 disciplines courantes à l’époque. Nous
suivons Socrate et Antisthène, un être froid, cynique, il aime particulièrement
un de ses élèves, Khrémès. Antisthène va se confier à son ancien maître,
Socrate, il n’a peut-être réussi à instaurer la bonne discipline dans son
école.
Cette nouvelle est, de mon avis, la plus violente du recueil, j’ai
néanmoins apprécié le récit, lire comment se déroulait l’apprentissage à cette
époque.
néanmoins apprécié le récit, lire comment se déroulait l’apprentissage à cette
époque.
Martial Caroff glisse quelques références à d’autres de ses écrits,
j’ai bien envie de lire autre chose de l’auteure, mais ça l’a été avec les 4
écrivains du recueil. Tous m’ont donné envie de les lire, une sorte de mise en
bouche
j’ai bien envie de lire autre chose de l’auteure, mais ça l’a été avec les 4
écrivains du recueil. Tous m’ont donné envie de les lire, une sorte de mise en
bouche
J’espère vous avoir donné envie de lire ce recueil
de nouvelles, j’ai forcément mes préférées, d’autres que j’ai moins appréciées,
mais aucune que j’ai détesté ! Je vous le conseille vraiment !
de nouvelles, j’ai forcément mes préférées, d’autres que j’ai moins appréciées,
mais aucune que j’ai détesté ! Je vous le conseille vraiment !
noisette2011 dit
Il a l'air vraiment intéressant.
A voir malgré que je ne suis pas une férue de nouvelles habituellement. 🙂
Liloulala dit
Je vais me le noter celui-là, je cherche à sortir un peu de ma zone de confort cette année et les nouvelles font clairement parties des choses que je ne lis que très rarement. Le thème de ce recueil est sympa et ton avis donne envie !
Phebusa dit
Recueil de nouvelles = Phebusa qui part en courant !
Enfin bon, il y en a qui peuvent me plaire quand même au vu des thèmes.
Par exemple, j'aime bien le roi soleil (surtout son château, en fait).