PRÉSENTATION DE L’ÉDITEUR :
Dans un monde de pure innocence, quel peut être le mobile d’un tueur ? Dans une communauté sans péché, comment le sang peut-il couler ? À moins qu’à l’inverse… Le coupable soit le seul innocent de la communauté.
Le nouveau thriller de l’auteur des Rivières pourpres.
On retrouve Ivana et on quitte la forêt noire du précédent opus (mon avis est ici) pour l’Alsace, elle enquête auprès d’une communauté qui ressemble très fort aux amish américains : les anabaptistes.
Engagée comme saisonnière pour récolter le raisin de la vigne en novembre ; elle enquête sous couverture.
Finis les sapins à perte de vue, place aux vignes parées de jaunes et ors à cette époque de l’année
Niemans est lui aussi de la partie.
Une autre enquêtrice se joint au duo : Stéphane Desnos. Stéphane au féminin. Une gendarme de la région. Les lecteurs qui connaissent Niemans se douteront que c’est très loin de l’enchanter. Les femmes et lui, c’est toujours aussi compliqué.
On est immergé dans une communauté qui vit en complète autarcie et ne rend de compte à personne. La seule exception pour entrer dans le domaine : les vendanges afin de produire le célèbre : Gewürztraminer.
Un roman plutôt court et qui se lit vite.
J’ai été très vite prise dans l’action, je voulais savoir ce que cachait cette secte et ce mort retrouvé.
J’ai passé un bon moment de lecture même si on a connu Jean-Christophe Grangé plus en forme que cela.
J’ai aimé les thèmes et Ivana qui joue un rôle plus important dans cet opus, mais je ne le recommande pas vraiment, ou alors aux lecteurs qui découvrent l’auteur ou qui aiment les polars plutôt soft.
Croyances, religion, icônes, eugénisme, vendanges et vengeance. Le gewurztraminer et l’Alsace. Un monde mystique de croyance inoubliée, inconnue, mais parfois très étranges.
Je ne peux pas dire beaucoup plus sur ce roman sans vous spolier. Je dirais de vous faire votre idée, pour ma part ce n’est une déception ni une lecture inoubliable. C’est juste bon.
J’ai lu, après ma lecture, que le roman était une adaptation de la série « Les rivières pourpres ». Je ne l’ai pas vue du coup cela ne m’a pas du tout dérangé, mais j’ai vu que des lecteurs avaient été déçus, car ce roman serait vraiment un « copié/collé » du téléfilm. Je ne peux pas le certifier ni l’infirmer.
✩ Le jour des cendres ⟷ Jean-Christophe Grangé ⟷ 368 pages ⟷ Éditions Albin Michel, le 03 juin 2020 ✩
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