rentrée notre jeune sorcier va assister en compagnie des Weasley et d’Hermione à
la coupe du monde de quidditch, celle-ci sera perturbée par des faits
inquiétants, ensuite, Poudlard organise le « Tournoi des Trois Sorciers ».
Un tournoi où s’affronteront un élève de chaque école représentée (en
l’occurrence « Poudlard » pour l’Angleterre, « Beaux Bâtons » pour la France et
« Durmstang » pour la Bulgarie).
Seul les élèves majeurs peuvent prendre
part au tournoi en soumettant leur nom à la coupe de feu, or Harry sera
contraint d’y participer, la coupe ayant sorti son nom et les règles devant être
respectées.
Cette compétition amicale mais néanmoins réputée dangereuse
et difficile est constituée de trois tâches.
Cette nouvelle année
scolaire ne s’annonce pas de tout repos, notre héros et ses fidèles acolytes
chercheront à savoir comment, par qui et pourquoi son nom a été tiré au sort.
Ce tournoi cacherait-il autre chose qu’un simple jeu ?
Livre pivot
de la saga, ce quatrième opus révèle concrètement le retour de Voldemort, même
si l’on s’en doutait déjà après la lecture des tomes précédents.
J. K.
Rowlings, avec ce livre central de la saga, introduit de nouveaux personnages
qui auront leur importance dans les tomes suivants (Queudver, Fleur Delacour,
Maugrey Fol œil, Cornelius Fudge, etc.).
Les personnages secondaires se
dévoilent et prennent une vraie position dans le récit (Neville Londubat, les
jumeaux Weasley).
L’auteur nous apprend l’utilité de certains objets que
nous retrouverons dans plusieurs tomes telle que la pensine, les relations entre
les personnages principaux se précisent : les dialogues entre Ron et Hermione
laissent présager qu’ils finiront un jour ensemble (la jalousie de Ron envers
Viktor Krum, les crises de larmes d’Hermione parce que Ron ne la comprend pas).
Les rebondissements sont nombreux, les incidences des actions de nos
héros se révèlent, on sent à travers ce livre que l’auteure suit la trame
qu’elle s’est fixée, chaque tome a son importance et celui-ci ne fait pas
exception.
L’écriture est fluide et rythmée, moins enfantine que dans
les livres précédents, on y trouve de l’action pure et dure (les épreuves du
tournoi), des moments plus intimes (le bal de Noël, la relation entre Madame
Maxime, directrice de Beaux Bâtons, et Hagrid), des moments plus sombres (le
retour des mangemorts, la mort de Cédric Diggory) mais aussi des moments
beaucoup plus légers et drôles (c’est dans ce tome que Hermione crée la
S.A.L.E., « Société d’Aide à la Libération des Elfes de maison).
Même si
ce roman est gros (presque le double de pages par rapport au tome deux :
Harry Potter et la chambre des secrets) nous n’avons pas d’impression de
longueur grâce, entre autre, aux pistes disséminées ci et là, nous lisons les
aventures de Harry à la manière d’un détective qui suit une piste, on émet des
suppositions, on cherche le coupable.
Les cinq derniers chapitres sont
haletants, on comprend avec ce quatrième opus que des moments difficiles
attendent le monde des sorciers et notre jeune ami. On devine que les relations
entre le ministère, Harry et Dumbledore vont se dégrader.
L’intrigue
globale se développe petit à petit, J. K. Rowlings ne nous livre pas tout en
vrac, il y a un véritable fil conducteur du premier au dernier tome, tout ceci
ne nous pousse qu’à une seule chose : découvrir le tome suivant.
La souris dit
C'est une saga que je relis chaque année et les films pareils 😉
Lau1307 dit
Oh la la ! Les Harry Potter… ! Je suis plus que dû pour relire cette sublime saga ! 😉