PRÉSENTATION DE L’ÉDITEUR :
» Sarah Lark nous tient en haleine avec la vie des femmes qui sont parvenues à conquérir cette terre sauvage. » thalia.de
Nouvelle-Zélande, 1863. Carol et Linda vivent heureuses après que leurs mères, Cat et Ida, ont surmonté bien des embûches.
Mais leur bonheur leur vaut aussi des ennemis, qui envient leur prospérité ou voient d’un mauvais oeil leurs liens avec les Maoris.
Les deux jeunes femmes n’ont que faire du qu’en-dira-t-on.
Bientôt, Linda prendra la tête de la colonie, tandis que Carol et son fiancé se consacreront à l’élevage de moutons.
Las, tous leurs projets s’écroulent après une terrible tragédie.
Au chagrin suscité par le drame se mêlent bientôt la crainte et l’angoisse que leur avenir sur l’île soit compromis. D’autant que grandit la menace d’un conflit entre colons et autochtones.
Linda et Carol trouveront-elles la force de surmonter, comme leurs mères vingt-cinq ans plus tôt, les épreuves que le destin a placées sur leur route ?
Le chant des coquillages de Sarah Lark est le deuxième volet de la saga Fleur de feu, je l’ai presque plus captivant et mouvementé que le premier volet. Sarah Lark comme elle sait si bien le faire mêle avec brio histoire et fiction. Elle nous emmène à travers les paysages à couper le souffle de la Nouvelle-Zélande, dans le monde des immigrés anglais ou irlandais, les Pakehas et au sein des tribus Maoris.
Dans ce deuxième tome, il y a énormément d’action et de suspense. De naufrage de bateau à des guerres entre tribu, tu ne pourras pas t’ennuyer une seconde.
De plus, on ne reste pas dans une partie du pays, mais on va voyager du nord au sud et inversement.
Sarah Lark fait revivre l’histoire, les guerres menées par les Maoris contre l’envahisseur blanc ont réellement existé.
Il y a de la cruauté des deux cotés.
Dans Le chant des coquillages, Sarah Lark t’emmène à nouveau dans un fascinant voyage à travers la Nouvelle-Zélande. Tu vas retrouver des personnages du premier opus, d’autres protagonistes rencontrés auparavant prennent davantage de poids dans ce livre-ci, et des nouveaux font leur apparition.
Tu accompagnes les colons et les militaires. Tu vas faire la connaissance de Te Ua Haumene et de sa rébellion contre l’envahisseur pakeha , une partie du roman que tu vas vivre intensément grâce à l’écriture très « vivante » de Sarah Lark.
Tu vas retrouver Ida et Cat et leurs filles.
Découvrir comment elles ont grandi, évolué et leur lutte actuelle.
Les deux romans t’expliquent la culture maorie, affectée par les changements religieux et sociaux plutôt qu’économiques à cause de l’immigration importante des pakehas.
Comme toujours avec Sarah Lark, c’est bien documenté, riche de comparaisons et de concepts qui décrivent l’homme dans sa complète humanité et inhumanité.
Les personnages sont disséqués à la loupe, cela permet de comprendre leurs actions, leurs objectifs. Des personnages très charismatiques. Qu’on les aime ou non.
Des romans, assez volumineux (600 pages pour le premier, 659 pour celui-ci) mais aucune page n’est de trop pour pouvoir observer la croissance, les défaites et les fortunes d’un peuple.
Cette lecture est un vrai cadeau pour ceux d’entre nous qui aiment le roman historique, narré à partir des allées et venues d’un clan, de plusieurs familles que tu rencontres dans le premier tome.
Si tu souhaites vivre l’expérience et voyager au cœur d’une Nouvelle-Zélande inexplorée, trouve ton billet dans ta librairie la plus proche.
Un autre livre extrêmement fascinant, un morceau d’histoire qui prend vie associée à une fiction émouvante, tout ceci dans le contexte coloré et merveilleusement illustré de la Nouvelle-Zélande.
Eux romans qui font une excellente saga culturelle et familiale néo-zélandaise (du nord, au sud) du XIXe siècle écrit de manière très professionnelle.
De nombreux scénarios passionnants, avec plusieurs rebondissements, des personnages uniques et des faits à suivre.
Il ne dépasse pas mon amour pour la première saga de l’autrice « Le pays du nuage blanc » mais on n’en est pas loin.
À lire si tu aimes les grands espaces, apprendre à connaître les US et coutumes d’un pays, d’un peuple.
Si tu veux comprendre tout ce qu’a causé ou amélioré les grandes immigrations au 19e, ici en Nouvelle-Zélande. Si tu aimes les femmes qui prennent leur destin en main, ce roman est fait pour toi.
Amitié, amour, immigration, expropriation, guerre, conséquences économiques et religieuses sur un peuple, élevage des moutons et grands espaces, naufrage, violence, chercheur d’or ; des jeunes gens face à des choix de vie, survie, lutte envers soi sont, en partie, les thèmes que tu retrouveras dans ce second volet de « fleurs de feu »
Trigger warning : ce livre contient des comptes-rendus descriptifs de haine raciale, de violence, de passages sexuellement explicite non censuré (abus verbal, psychologique, émotionnel, physique et sexuel sur mineur/adulte)
Je préfère prévenir si tu es particulièrement sensible à ceci.
✩ Fleurs de feu, tome 2 : Le chant des coquillages ⟷ Sarah Lark ⟷ 659 pages ⟷ Éditions L’Archipel, le 19 mai 2022✩
D’autres de mes avis sur les romans de Sarah Lark ou en tapant Sarah Lark en barre de recherche
Sa bibliographie :
Trilogie du nuage blanc :
- Le pays du nuage blanc
- tome 2 : le chant des esprits
- tome 3 : le cri de la terre
Trilogie Kauri
- Les rives de la terre lointaine
- Tome 2 : à l’ombre de l’arbre Kauri
- Tome 3 : Les larmes de la déesse maorie
Duologie l’ile aux mille sources
- L’île aux mille sources
- Tome 2 : l’île de la mangrove rouge
Et enfin : Trilogie Fleurs de feu
- Tome 1 : Fleurs de feu
- Tome 2 : la chant des coquillages
[…] ma saga préférée La saga des îles La saga maorie Et enfin cette dernière avec le 1er tome ici et le second […]