PRÉSENTATION DE L’ÉDITEUR :
Doreen se réfugie chez sa sœur aînée Peggy Reilly, propriétaire de la pension du Bord de Mer, pour se remettre d’épisodes éprouvants… Mais les lettres qu’elle reçoit de son ancien mari se font de plus en plus menaçantes… Le 10e volet de la saga » La pension du Bord de mer « , par une autrice dont les ventes en France dépassent les 900 000 exemplaires.
1943. La Seconde Guerre mondiale continue à faire des ravages en Angleterre, mais Peggy Reilly s’inquiète surtout pour sa jeune sœur, Doreen.
Non sans raison. Cette dernière doit en effet quitter Londres dans des conditions dramatiques pour se réfugier chez elle, à la pension du Bord de mer.
Mais l’ombre d’Eddie, son ancien mari, la poursuit, et les lettres que Doreen reçoit de lui se font de plus en plus menaçantes. La jeune femme prend peur, qui sait Eddie capable de tout !
Grâce au soutien de Peggy et des occupantes de la pension, Doreen parviendra-t-elle à prendre un nouveau départ ? Pourra-t-elle oublier les tourments du passé qui ne cessent de la hanter ?
J’adore cette saga, ce n’est une surprise pour personne.
Il y a des personnages fabuleux dans le livre tellement attachant.
Peggy Riley est une femme aimante au grand cœur, mais qui n’hésitera pas à sortir les crocs si on s’en prend à un membre de sa famille, de la pension ou si elle voit une injustice.
Ron », son beau-père a le don de la mettre en colère, mais elle est plutôt soupe au lait. Ses colères ne durent jamais.
La pension est un refuge pour les personnes qui ont perdu leur logement à cause des bombardements, pour les personnes qui viennent travailler en ville et pour la famille qui va et vient, mais qui est toujours sûre d’être bien accueillie chez Peggy.
La pension est devenue pour moi aussi un refuge, je m’y sens bien et c’est en cela que c’est un livre doudou.
Ron, le beau-père de Peggy et son chien débraillé Harvey sont mes préférés dans ces histoires.
Ron est toujours à la hauteur d’un stratagème ou d’un autre toujours seconde par Harvey, ils font les 400 coups. Ron a un cœur d’or et veille sur Peggy à tout moment. Il veille également sur les pensionnaires de Peggy. Ron appartient aussi à la Home guard et il n’hésite pas à braver le danger pour aider les familles de Clifffheave en difficulté.
Ron apporte de la légèreté au récit.
Les locataires, qui au fil des ans, ont peuplé la pension du Bord de mer, tu les connais.
Chaque tome est consacré à l’un des pensionnaires ou un membre de la famille.
Peggy se comporte avec elles comme une mère poule.
Ce sont des poussins plein de ressources.
Ces jeunes femmes se sont fait un devoir de mettre leur compétence, peu importe lesquelles, au service de la guerre
Tu auras des nouvelles des anciennes notamment une si tu as lu les précédents, mais Tamara McKinley en révèle suffisamment pour que tu ne sois pas perdue si jamais tu prends la saga en cours de route
Dans cet opus, tu entendras parler de Bletchley Park je t’en ai déjà parlé dans mon avis sur le code Quinn, mon avis est ici
On va suivre Doreen, la jeune sœur de Peggy.
Sauf si je me trompe, elle a été mentionnée plusieurs fois depuis le début de la série, mais ce n’est que la première fois qu’elle joue un rôle plus important.
Doreen travaille à Londres à Fort Halstead le siège de recherche sur les fusées à combustible solide
Chaque jour peut être le dernier, ce qui pousse les un et les autres à faire des choses qu’ils n’auraient jamais rêvés en temps ordinaire.
Son compagnon, Archie, chef mécanicien sur un destroyer, a une permission d’une semaine. Ils s’aiment depuis 3 ans, mais ne sont pas encore mariés, un fait qui heurte les bonnes mœurs de l’époque. Peu importe, Doreen et Archie vont profiter de cette période à 2, ils ne savent pas quand ils pourront se revoir.
Doreen est l’opposé de Doris, la sœur aînée acariâtre de Peggy.
On apprend un fait historique en plus de Bletchey Park qui est arrivé dans l’East end, mais dont les journaux de l’époque ont évité de parler.
C’est ce que j’aime aussi dans cette saga, on vit à la pension, mais on vit toute la Seconde Guerre mondiale dans le monde.
Les grands faits historiques comme ceux moins connus.
Cela te permet de lire un roman qui se déroule durant la guerre, plutôt centré sur les difficultés de vivre des Anglais tout en ayant des informations historiques.
Comme toujours, c’est une bonne lecture, elle me détend, elle me réconforte. On rit et on est ému avec cette saga.
Pour lire les autres avis je te renvoie à mon avis précédent où tu auras tous les liens : ici
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