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Une souris et des livres

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L’île de la mangrove rouge de Tamara MCKinley

 

PRÉSENTATION DE L’ÉDITEUR :

Après L’Île aux mille sources, l’auteure du Pays du Nuage blanc (plus de 200 000 exemplaires vendus en France, toutes éditions confondues) nous offre son huitième roman, où après la Nouvelle-Zélande, elle entraîne ses héroïnes dans les décors enchanteurs des îles caribéennes. Deirdre, comme sa mère Nora jadis, aspire au bonheur, à la liberté et à un monde plus juste.
Jamaïque, 1753. Deirdre, la fille de Nora et de l’ancien esclave Akwasi, vit dans la plantation de sa mère et de son beau-père.
Les garçons de l’île, fascinés par la jeune métisse, ne cessent de lui tourner autour. Mais Deirdre n’a d’yeux que pour un seul homme : le Dr Victor Dufresne…
Après L’Île aux mille sources, Sarah Lark entraîne de nouveau ses héroïnes dans les décors enchanteurs des îles caribéennes. Mais, sous les tropiques, le temps comme le destin se montrent parfois capricieux…

Ceci est le deuxième tome de la dernière saga de Sarah Lark parue en français chez l’Archipel.

Le premier tome et mon avis se trouvent ici

Nous débutons le livre en 1753. Deirdre la fille de Nora et de Doug Frontman s’apprête à fêter ses 18 ans. Un grand bal est donné en son honneur. Nora et Doug sont  les héros, surtout Nora, du premier opus. Ils gèrent « Cascarilla garden » s leur plantation d’une manière qui déplaît aux autres colons anglais. Les esclaves ne sont pas battus, les familles jamais séparées, ils ont le droit de célébrer leur religion et de donner un nom africain à leurs enfants.

Pire, ils sont éduqués et dirigés par un esclave libre.

Deirdre part vivre à Cap-Français (aujourd’hui nommé Cap-Haïtien) où gronde une révolte des esclaves menées par un certain François Macandal

Elle est pour sa part épargnée, elle vit en ville à Hispaniola (aussi appelée Saint-Domingue)  où son mari, Victor, exerce la médecine

Dans le même temps, on change de narrateur pour suivre Jefe et Bonnie

Bonnie et Jefe ont eux aussi quitté Grand Cayman (îles Caïmans — Jamaïque) pour une vie nomade que je vais te taire.
Bonnie embrasse le danger pour fuir son maître qui est un monstre.
Jefe, lui, est toujours autant remonté contre les blancs alors qu’il a toujours été libre.
Il cherche à être célèbre comme son père. Je ne peux pas trop t’en parler sans spolier le tome 1.

Grâce à eux, tu vas voyager et admirer quantité de destinations aux noms exotiques telles que la Barbade, Porto-Rico

Bonnie est très attachante, Jefe par contre est très orgueilleux, dédaigneux et fier

Le goût de l’aventure peut s’avérer dangereux

Le destin a parfois un drôle de sens de l’humour

Piraterie, plantation de tabac, esclavage, colonisation, amour, palmier et mer d’azur, forêt de mangroves, histoire de la piraterie et de son âge d’or avec le célèbre barbe noir, dauphin et baleine, coucher de soleil, empoisonnement, canne à sucre et sa culture, pluie tropicale, nature luxuriante tu trouveras tout ceci dans ce second tome

Une carte aurait été bien utile pour se repérer sur les différents îles ou territoires, j’ai été à plusieurs moments perdue dans l’espace, j’ai souvent dû aller sur internet surtout que les noms des îles et pays ont changé depuis qu’ils ne sont plus des colonies.

J’ai moins aimé ce tome, un schéma assez identique au premier opus.

Des personnages moins charismatiques que Nora et les protagonistes du premier. J’ai aussi trouvé que l’action peinait à se mettre en place.

 

✩ L’ile de la Mangrove rouge   ⟷  Sarah Lark ⟷ 484 pages ⟷ Éditions L’Archipel, le 4 juin 2020 ✩

 

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10 juillet 2020

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